Aiba Masaki x Yokoyama Yu
Masaki : Je crois que tu as trouvé un chien que tu aimé dans une animalerie il y a peu de temps.
Yokoyama : En effet ! C'est devenu un de mes animaux préférés. Sauf que j'ai décidé tout seul qu'il était « mon chien ».
Masaki : Tu n'avais pas cessé de le fixer le chien sans bouger d'un pouce de ta position initiale. *rires* Mais ce chien est vraiment mignon.
Yokoyama : N'est-ce pas !? Il est super mignon !
Masaki : … Maintenant que j'y pense, je traîne très souvent avec toi ces temps-ci.
Yokoyama : On a acheté le même logiciel de jeux il y a deux jours. J'ai trouvé le mien assez intéressant.
Masaki : Vraiment ? … le mien était nul...
Yokoyama : Uwah, comme c'est dommage ! *rires* Ah, et dernièrement ta façon de parler ressemble un peu à du Kansaiben. C'est plutôt mauvais alors je pense que tu devrais arrêter. *rires*
Masaki : Tu peux parler ! Il t'arrive d'employer le Tokyoben.
Yokoyama : C'est vrai... parfois je sors des trucs comme "Jyan ?" sans même le remarquer, c'est assez grossier...
Masaki : Peut-être qu'on s'affecte inconsciemment sans vraiment le remarquer ?
Yokoyama : On se voit tous les deux pour des choses comme "Tokyo Bistro Johnny" et "8 Jida J", mais c'est agréable de passer du temps ensemble.
Masaki : Tout à fait. Mais tu sais, même si on s'entend bien maintenant, je pensais honnêtement au début que tu étais une personne effrayante.
Yokoyama : Et j'avais les cheveux blonds.
Masaki : Néanmoins, tu m'avais préparé un dîner il y a un moment, alors en fait tu es très gentil.
Yokoyama : Tu aurais pu m'aider un peu à ce moment-là ! *rires* J'ai fini par tout faire par moi-même. C'est comme si j'étais ta mère !
Masaki : Mais c'est moi qui ai nettoyé après le repas ! *rires* Tu laisses traîner ce que tu manges ainsi que tes vêtements après les avoir enlevés, alors ça fait beaucoup de boulot !
Yokoyama : Ce serait sûrement mieux si on était tous les deux un peu plus prévenants envers l'autre. *rires*
Masaki : Oh t'en fais pas, j'y suis déjà habitué.
Yokoyama : Ah, j'ai pensé à autre chose ! Je crois qu'à chaque fois qu'on va à la supérette ensemble, on se partage l'addition.
Masaki : Exact.
Yokoyama : Je trouve que je suis le perdant dans l'histoire.
Masaki : Non pas du tout.
Yokoyama : Si ! J'avais seulement acheté des trucs bons marchés, mais toi tu t'es offert des choses chères, alors quand on compte toutes ces dépenses ensemble et qu'on se les partage, je suis le perdant dans l'histoire !
Masaki : Vraiment ?
Yokoyama : Oui ! J'ai dépensé plus que je n'aurais du.
Masaki : Ah bon... mmm... d'accord d'accord, j'ai compris. *rires*
Yokoyama : Pourquoi tu te forces à répondre ainsi ? Franchement, tu ne pourrais pas parler davantage comme une idole ?
Masaki : *se clarifie la gorge* Tu m'as complètement percé à jour.
Yokoyama : Uwah, tu viens de parler comme une idole.
Masaki : *rires* … Étrange, mais parler avec toi est très amusant.
Yokoyama : Menteur. *rires*
Masaki : Je dis la vérité.
Crédit :
http://say-it-again.livejournal.com/69858.html