Interview de la brochure 8sai

Celui qui met le feu par Yasu

Un bon leader par Tacchon

Chicchai occhan par Hina

Libre par Yokocho

Lunatique par Ryo-chan

Aussi chaud que des poivrons japonais par Maru

Tacchon : Subaru-kun, apparemment, tu as appris les débuts de Kanjani∞ en lisant le journal dans le Shinkansen ? Mais comment ça s'est vraiment passé ?

Shibuyan : Comme tu viens de le dire. Mais pour être plus précis, c'est notre manager-san qui m'avait dit à ce moment-là, « Johnny-san veut un chanteur d'enka pour la partie spectacle de DREAM BOYS. » (celle après l'histoire principale), et j'ai enregistré Naniwa Irohabushi pour la comédie musicale. Johnny-san a vraiment adoré et a voulu qu'un CD sorte pour cette chanson. .

Tacchon : Eh, c'est vrai !?

Shibuyan : Et plus tard, j'ai lu le journal et appris la nouvelle, ça m'a fait très plaisir. En y repensant, 2004 fut vraiment une super année pour nous, sans oublier DREAM BOYS. Quand la décision a été prise, les Eitos existaient déjà depuis deux ans, c'était la période la plus dure pour nous car nous n'avions pas encore débuté. Nous avions aussi passé beaucoup de temps ensemble au Teigeki (Teikoku Gekijo, théâtre impérial). Il y a eu beaucoup de bonnes et de mauvaises choses, mais passer ainsi du temps ensemble nous a permis de devenir une « équipe. »

Yasuda : En effet, 2004 fut une grande année pour nous. C'est un peu hors-sujet, mais en parlant de DB, je crois que c'était plus tard en 2006, quand nous le faisions avec KAT-TUN, je me rappelle de cette énorme dispute qu'ont eu Subaru-kun et Yokoyama-kun dans la loge.

Tacchon : Je m'en souviens. Quel en était la raison ?

Shibuyan : Vous vous souvenez que j'étais le seul à avoir ma propre loge ? Et les autres membres organisaient une fête surprise pour Hina, mais je n'étais pas dans la même pièce que vous alors je ne savais rien de ce qu'il se passait. Et à un moment, j'ai eu un coup de fil, arrivé à mi-chemin, Yoko m'a vu et est soudainement devenu assez chiant avec moi, « Tout le monde est en train de préparer quelque chose, et toi, qu'est-ce que TU fabriques ! » Moi, je pensai, « Hein, je ne vois pas de quoi tu parles... attends. » Seulement, Yoko ne se calmait pas, alors je me suis demandé ce que je devais faire.

Yasuda : Et moi je pensai, « Qu'est-ce qu'ils fabriquent ? ». Mais... Subaru-kun, Yokoyama-kun, et Shin-chan également, vous possédez un lien spécial que les autres ne peuvent pas voir.

Tacchon : C'est pourquoi vous pouvez être direct l'un envers l'autre. Maintenant que j'y pense, ce n'était pas Yokocho et Subaru-kun, tous les membres étaient assez immatures.

Shibuyan : Mm, tu as raison. Nous sommes avant tout des « membres », mais parmi les membres justement, nous avons commencé à la même époque, ce qui n'est pas sans avoir une signification. Dès le début, quand nous étions Juniors, on ne voulait pas perdre face à Takitsuba ou les autres gens de Tokyo. Ce n'était pas une question de rivalité, c'est plutôt que nous, les types d'Osaka, avons notre propre manière de faire les choses, et c'est notre façon de nous battre !! Pour ça et tout le reste, nous sommes liés en tant que « personnes. » Et ces deux gars sont les seuls avec qui je sors en dehors du travail.

Yasuda : Yokoyama-kun a toujours été aussi timide ?

Shibuyan : Oui, il est gentil. Il est timide mais pense vraiment aux autres. En plus, il est doué pour donner une vision objective des choses, il comprend des choses comme, « Si je fais ça, ça leur fera plaisir, si je fais ça, ils n'aimeront pas. » Il est ainsi pendant et en dehors du travail.

Tacchon : De quoi parles-tu quand tu es avec lui ?

Shibuyan : On ne parle jamais boulot ou des membres.

Tacchon & Yasuda : Hmm.

Shibuyan : On mange, puis on réalise qu'on a pas dit un mot depuis déjà une demi-heure sans pour autant s'en sentir gêné... Ces derniers temps, ça arrive assez souvent.

Yasuda : Alors vous ressemblez un peu à un vieux couple marié ? Je suppose que c'est ainsi que vous vous ouvrez pleinement à l'autre. Il y a un lien puissant entre vous.

Tacchon : L'existence de Shin-chan est aussi spéciale à tes yeux ?

Yasuda : Selon moi, il est celui qui comprend le mieux Subaru-kun.

Shibuyan : C'est lui qui rit le plus souvent à ce que je dis. Il pourrait être mon fan numéro 1. Nos personnalités sont complètement différentes, et nous avons chacun notre propre façon de vivre, mais malgré tout, je pense qu'on se ressemble.

Yasuda : Comment êtes-vous devenus amis ?

Shibuyan : C'est en grande partie parce que nous étions presque voisins. On rentrait chez nous après le travail, alors on passait plus de temps ensemble qu'avec les autres. Et puis nous avons un sens de l'humour très similaire, on aime les mêmes comédiens, moi et Hina partageons beaucoup de points communs.

Tacchon : Dans un sens, Mitei Ichi fut une bonne chose pour vous deux ?

Shibuyan : Cette émission m'a plu. Le script, la mise en scène, tout, on pouvait faire tout ce qu'on voulait, et comme on avait cette chance, cette émission est vraiment devenu un tournant pour moi.

Tacchon : Vous êtes-vous déjà dit, « Refaisons ça l'année prochaine ? » ?

Shibuyan : Bien sûr. Mais ça deviendrait un tournant pour moi, et avoir pu faire cette émission m'a fait penser, « Si tu continues de bien travailler, tu auras la chance d'animer cette émission comme tu l'entends. » J'ai aussi pensé à FIVE. Alors quand on en est arrivé à « La prochaine émission », j'ai dit à Hina, « Je veux créer un groupe, maintenant. ». On a tout de suite été sur la même longueur d'onde. On espérait tous les deux, « Quand on sera vieux, ce serait amusant de refaire cette émission. ». Peut-être que c'est égoïste, mais je crois que c'est la raison pour laquelle Hina continuer d'animer des émissions. Je pense qu'ainsi il protège « notre rêve. »

Tacchon : C'est vraiment touchant.

Yasuda : Subaru-kun, Yokoyama-kun, et Hina-chan ont rapidement développé une relation aussi forte, pas vrai ? Et puis vous êtes allée à l'émission J3KANSAI de Osaka avec nous, les membres de V.WEST, et puis il y a eu ANOTHER, quelles furent tes premières impressions de nous ?

Shibuyan : Voyons voir, vous n'étiez pour moi que de simples kouhais dans la Jimusho. Je suppose que vous agissiez tous comme des senpais, non ? On avait tous environ 19 ans à l'époque, pas vrai ? On était tous assez anxieux. Oh au fait, à un moment, on m'a demandé de chanter en jouant de la guitare pour J3KANSAI, mais à l'époque je ne savais pas du tout en jouer. Mais j'ai pensé que ce ne serait pas sympa de refuser devant mes kouhais. Je me rappelle m'être entraîné comme un dingue la veille avant l'émission.

Tacchon : Ahahahaha. Moi je pensais que vous aviez déjà une tonne de travail à faire à Tokyo.

Shibuyan : Mais juste avant ANOTHER, je pensais vraiment tout laisser tomber.

Tacchon : Eh, pourquoi, pourquoi ??

Shibuyan : Eh bien, dès que j'ai rejoint la Jimusho à l'âge de 15 ans, je suis soudainement devenu très occupé avec les émissions, Music Station et un tas d'autres trucs... Chaque journée était difficile et je me sentais mal, je n'avais pas le temps de penser à moi, et quand je l'ai compris, j'avais 18 ans et un rôle principal dans un drama. Je n'avais bien sûr jamais joué dans quelque chose avant. Il y avait beaucoup de pression. Et puis à un moment, j'ai fini par penser, « A quoi ressemble le vrai moi ? », et je n'ai pas pu trouver une réponse, je ne voulais plus travailler. J'aurais du m'y attendre mais par la suite, j'ai commencé à avoir moins de travail, et pendant un an, je n'ai presque plus eu de boulot du tout. J'ai pensé, « Si je vais démissionner, je pourrais au moins revenir à Osaka une dernière fois. », et l'offre pour ANOTHER est arrivé ensuite. Quand les répétitions ont débutées, j'ai revu Yoko et Hina, ils m'avaient manqués, et j'ai appris qu'ils étaient tout deux morts de fatigue... et quand je les ai reconnus, je me suis reconnu en eux, « Peut-être que je devrais travailler dur avec mes amis. » Jusqu'ici, je m'ouvrais rarement à quelqu'un, mais ces retrouvailles m'avaient ôtées toute envie de démissionner.

Yasuda : Malheureusement, Okura n'était pas encore là pour témoigner de ce merveilleux moment.

Tacchon : Mm, je n'étais pas encore là.

Shibuyan : C'est vrai. Je me souviens très bien de quelque chose concernant ANOTHER. Jusqu'ici, j'étais plutôt dans une bonne position parmi les Juniors, une des personnes qui occupait toute l'attention, mais, comme je l'ai déjà dit, juste avant ANOTHER, je ne voulais pas du tout travailler et j'ai arrêté de passer à la télé ainsi que d'autres choses, d'accord ? Dès l'instant où je suis apparu sur scène, le public devant moi a éclaté en sanglots, je m'en souviens très bien. Je n'étais qu'un Junior, vous savez. Quand j'ai vu de mes propres yeux que des gens attendaient avec autant d'impatience, qu'ils attendaient de voir quelqu'un d'aussi insignifiant que moi, ça m'a fait très plaisir. Et c'est ainsi que j'ai réussi à trouver un sens à ma vie et qu'est né le sentiment de reconnaissance que j'éprouve envers les fans.

Yasuda : ANOTHER fut la source de beaucoup changements pour nous.

Tacchon : Au fait, avant cette pièce de théâtre, quand Subaru-kun travaillait à Tokyo, as-tu souvent travaillé avec Ryo-chan ?

Shibuyan : Je l'avais seulement vu dans certaines interviews de magazines d'idoles.

Tacchon : Vous êtes deux genres différents de vocalistes. Subaru-kun chante instinctivement, et Ryo-chan... il pense, il réfléchit, puis il chante... quelque chose comme ça, en tout cas, c'est comme ça que je le vois.

Shibuyan : Mm, ce n'est qu'un avis personnel, mais pour moi, l'existence de Ryo-chan me met beaucoup de pression, et ce n'est pas un reproche ! C'est grâce à sa présence dans le groupe si j'ai pu devenir ce genre de vocaliste, oui...

Tacchon : Et quand on parle musique, Ryo-chan est vraiment à fond dedans.

Shibuyan : C'est la raison pour laquelle il est important pour nous, je doute que ça fonctionnerait si on l'imitait. Il y a, par exemple... pour Ai deshita, si j'avais joué de ma guitare tout en chantant, j'aurais été comme lui.

Tacchon : Alors c'est pour ça que tu n'avais pas joué de la guitare pour le PV.

Shibuyan : Si jamais c'est nécessaire dans nos futures chansons, je le ferais. C'est juste que j'ai pensé que ça rendait mieux qu'il y ait un chanteur qui ne fasse que chanter. Je ne dis pas que ça devait être absolument moi. Ryo à ma place pendant que je joue de la guitare m'irait parfaitement. On peut s'exprimer comme on le désire, mais la chose que je veux protéger est ce qui permet à Kanjani∞ d'être, « Kanjani∞ ».

Yasuda : J'ignorais que tu pensais de la sorte.

Shibuyan : Mais je n'ai jamais beaucoup parlé musique avec Ryo. Et c'est quelqu'un qui a de l'initiative dans le boulot et il a souvent de bonnes idées. On est différents, mais nous partageons le même sentiment de passion pour notre travail, alors même si nous ne parlons, on se comprend. Je ne peux pas vraiment l'expliquer, mais vous voyez, Ryo, il a son mode cool, « je ne fais pas de mon mieux », mais en fait, il réfléchit vraiment rapidement et est très intelligent. Sa présence est nécessaire pour le groupe.

Tacchon : Il n'y a que toi qui pourrait l'analyser ainsi.

Shibuyan : Pourtant, il n'est pas patient du tout. En plus, on comprend facilement ce qu'il pense. Où qu'on soit, ses émotions se lisent sur son visage.

Yasuda : On y arrive nous aussi !

Shibuyan : En parlant de Ryo, je crois que c'est lui qui a le plus souffert du départ d'Uchi.

Yasuda : Tu as raison.

Tacchon : Et toi, Subaru-kun, qu'en as-tu pensé ?

Shibuyan : Qu'il avait fait quelque chose, mais je n'étais pas en position de lui faire un reproche. Je savais juste que, « On ne peut pas faire quelque de « mauvais » pour le groupe. On avait besoin que cet incident devienne une arme que nous puissions utiliser. Alors cette émission que nous avons animée juste après l'Osaka-Jou Hall (une arène), l'ambiance que les fans et les membres ressentaient était indescriptibles, mais c'est devenu une émission portant un sentiment incroyable.

Tacchon : Je poserai cette question à tout le monde, que penses-tu de Maru ? J'ai entendu dire que tu vas regarder ses pièces de théâtre et que tu suis ce sur quoi il travaille.

Shibuyan : J'aime quand Maru joue une pièce de théâtre. Alors je vais toujours les regarder. Vraiment, c'est tellement agréable de le voir jouer. C'est très relaxant. Il travaille dur au boulot, et quand vous travaillez sur quelque chose que vous voulez faire, c'est agréable, vous brillez. Et c'est ainsi qu'est Maru.

Yasuda : J'ai vraiment été surpris d'apprendre que Subaru-kun regardait des pièces de théâtre.

Tacchon : Mais Maru dit que tu pars toujours sans lui avoir parlé.

Shibuyan : Parce que je me sens bien. Je n'ai rien à dire.

Yasuda : Que pensais-tu de Maru, avant ?

Shibuyan : Au début je croyais qu'il était dingue. Je ne lui avais pas parlé, c'était juste en le voyant que je pensais, « A quel point ce type est sombre ? » Pourtant, je crois que Maru et moi nous ressemblons. Par exemple, il est très fragile, et récemment, on se raconte n'importe quoi. On est similaire sur ce point également.

Yasuda : Maru a appelé ça « la résonance des sons. ».

Shibuyan : On se comprend sans se parler. Je crois qu'il devient de plus en plus fort. Il a même l'air d'apprécier lorsqu'il rate quelque chose et tourne en rond. Toutefois, il reste fragile. Surtout quand on a des concerts, Maru devient vraiment naïf. Je me souviens de la tournée des 47 préfectures, il y avait ce moment où les choses allaient mal pour Maru et il devenait vraiment nerveux. Je l'ai enlacé et je lui ai parlé en tête-à-tête pendant un moment.

Tacchon : Je n'étais pas au courant de cela.

Shibuyan : C'est arrivé quelquefois, et à d'autres moments, la bonne humeur de Maru m'a vraiment sauvée. Okura également. Tu est toujours mort de rire quand je parle.

Yasuda : Oui, c'est vrai.

Shibuyan : Okura pense vraiment à Kanjani∞. C'est pourquoi tu es parfois vraiment têtu, parce que tu sais que tu ne peux pas arriver à faire entendre raison aux autres. Si tu n'étais pas là, les Eitos n'arriveraient pas à fonctionner correctement et chacun ferait ce qu'il voulait.

Yasuda : Quelque chose t'a fait penser de la sorte ?

Shibuyan : Oui. Je crois qu'au début, Okura ne voulait pas que je sois dans un groupe parce que nous en étions déjà un, Kanjani∞. Je ne lui en avais pas parlé, mais je pouvais le sentir. Bien sûr, à l'époque, Kanjani∞ et le groupe étaient deux choses complètement différentes pour moi, chacune avait son importance, je savais que je ne faisais rien de mal. Mais j'appartenais au groupe, il y a un moment pour sortir, et un autre pour rentrer. Okura est celui qui m'a appris, « Ce n'est pas le bon moment pour sortir. » (alors, si j'ai bien compris, Kanjani8 = une famille et non un groupe de musique, Okura voulait que Baru soit dans leur « famille » et non dans un groupe)

Tacchon : Oh vraiment? Je n'en étais absolument pas conscient...

Shibuyan : Je m'en doutais. En plus, ces dernières années, Okura est le seul qui nous soutient vraiment pendant nos représentations. Tu peux toucher le cœur des gens. J'ai appris grâce à lui que la technique est importante, mais que les représentations ne sont pas des choses au cours desquelles vous devez réfléchir. Alors je suis vraiment content qu'il soit notre batteur.

Tacchon : Ça me fait vraiment plaisir que tu dises cela, mais c'est un peu embarrassant. Donc que penses-tu de Yasu ? Vous créez des chansons et passez du temps ensemble. En vous voyant ainsi, je constate que tu es plus proche de Yasu en termes de musique et de goûts.

Shibuyan : C'est vrai qu'il me demande des conseils pour beaucoup de choses.

Yasuda : On va souvent faire les magasins ensemble.

Shibuyan : Exact. Mais la chose la plus importante que l'on est faite fut de commencer un groupe ensemble. C'est vrai qu'on partage un peu les mêmes hobbies, comme la mode, mais quand on crée des choses ensemble, comme une chanson par exemple, on est immédiatement sur la même longueur d'onde, je ne peux pas l'expliquer, quelque chose se produit, une sorte de réaction chimique. C'est ainsi que ça s'est passé quand nous avons créé Désire.

Tacchon : C'est vraiment une bonne chanson.

Shibuyan : Yasu et Hina sont vraiment sérieux en termes de sentiments. Enfin, pas tout à fait, c'est surtout qu'ils ont leur propre force intérieur. Quand j'ai visionné la vidéo de Yasu en Papouasie-Nouvelle-Guinée, ça m'a beaucoup amusé. J'ai pensé qu'il pouvait survivre où qu'il y aille. Yasu doit sûrement être le membre le plus déterminé et ouvert d'esprit.

Tacchon : Subaru-kun, que penses-tu des chansons de Kanjani∞ ?

Shibuyan : Elles procurent vraiment un sentiment agréable. Quoi qu'il arrive, je veux protéger la musique de notre groupe, elle touche les gens, c'est pourquoi on peut dire fièrement, « Nous sommes des idoles. » Et puis, au fil du temps, les membres essaient de nouvelles choses, jouer dans des dramas, participer à des émissions de variété... Néanmoins, au fond de nous, on adore tous la musique, et c'est amusant quand on en crée ensemble, pas vrai ? Je pense qu'on doit donner davantage d'efforts en termes de musique.

Yasuda : As-tu des ambitions particulières pour le groupe ?

Shibuyan : Je veux que Kanjani∞ devienne un genre unique. Mais pour être honnête, je crois que nous avons encore un long chemin à faire avant d'y parvenir. Tout d'abord, on doit devenir plus prospère, je ne sais pas si ça signifie qu'on doit vendre par millions ou s'exprimer pleinement en tant que Kanjani∞, mais dans un sens, je trouve que nos senpais sont incroyables. Selon moi, tant qu'on est ensemble tous les 7, on y arrivera.

Crédit : Enshinge